Lorsqu'ils arrivèrent devant le palais, Obréanne ouvrit les yeux. Elle pu voir que l'hommw qui l'avait sauvé avait les traits de visage d'un elf... Il était légèrement plus grand qu'elle et avait l'air surprit de la voir se relever si vite debout. Elle lui sourit et constata qu'un foulard était attaché à sa taille, il avait servit à éviter que le sang ne coule trop. Elle l'enleva et le remi à son propriétaire. Puis, elle regarda ses blessures, qui, bizarrement, c'était toutes refermées... Avait-elle un pouvoir d'autoguérison? Quoi qu'il en soit, elle se devait de remercier celui qui lui avait sauvé la vie.
-Merci à vous, jeune homme, je...
Elle arrêta de parler aussitôt qu'elle sentit son dos lui brûler. Puis dans sa tête, elle entendit :
*Obréanne...maintenant, c'est mon tour de jouer avec ce corp...je vais tuer cet homme! Ça faisait si longtemps que j'attendais! Laisse place à Farah Neki!*
*Farah Neki...?! C'est mon deuxième nom que ma parlé Londeline!*
*Ce n'est pas TON nom!*
Obréanne mit ses mains sur sa tête en hurlant de douleur. Puis, se disant que ce serait mieu pour la survie de l'homme, elle entra dans le palais et referma brutalement la porte. Puis, elle tomba à quatre pattes par terre. La voyant, un serviteur s'approcha d'elle, mais lorsqu'elle hurla avec la voie d'un démon, il recula au plus vite. Une aile décaille bleue poussa alors dans son dos, déchirant le derrière de sa robe et la faisant saigner. Elle hurla de plus en plus fort, avec cette nouvelle voie de possédée. Un de ses yeux devint de couleur jaune. Puis, des griffes poussèrent sur sa main droite. Le démon, à moitier transformé, hurla de sa voie ténèbreuse :
-Votre sang coulera dans ma bouche...quel festin! Je me régalerai de vos chaires et vous enverrez en enfer!
Puis, essayant de chasser ce démon, Obréanne du uttiliser une grande concentration pour dire de sa voie crystalline :
-Aidez-moi, je vous en pris! Ce démon va m'avoir... S'il-vous-plait!!!
Mais personne ne réagit...au contrère, la plus part s'enfuient. Les autres se reculèrent déffensivement en gardant leurs armes pointés vers la femme possédée.